Des résultats surprenants
L’étude révèle que 60% des professionnels du développement d’applications ont recours au multicloud et cette proportion passera à 81% dans les 12 prochaines mois.Les points forts du multicloud qui poussent les professionnels à basculer vers cette plateforme sont :
- La fiabilité du Cloud (46%) ;
- La digitalisation des données (43%) ;
- La flexibilité (42%) ;
- La sécurité et la gouvernance des données (41%).
Pour la majorité des participants à l’étude (89%), la première préoccupation reste la sécurité du Cloud. En ajoutant à cela la complexité de l’environnement multicloud, les défis auxquels les entreprises doivent faire face sont les éléments décourageants.
Automatisation du Cloud, la lueur d’espoir
Devant la complexité du Cloud, un grand nombre de personnes interrogées durant l’étude estiment que la centralisation du Cloud, par exemple les centres d’excellence autour du cloud (CCoE), est une excellente solution pour dissiper les craintes. Ces équipes engagées par les entreprises aident à :- La standardisation des services Cloud ;
- La création de politiques opérationnelles ;
- La centralisation de la sécurité de l’environnement.
Toutefois, les entreprises ont besoin de plateformes fiables, sécurisées et moins sujettes aux pénuries pour mettre en marche le processus de centralisation.
Ce dernier point relève l’importance de l’automatisation de l’infrastructure multicloud, comme l'affirment 89% des personnes interrogées. C’est pour cette raison que les organisations se dirigent préférentiellement vers des solutions “as-a-service” plutôt que de créer eux-mêmes leur environnement automatisé.
Cloud in One : UNE MISE EN OEUVRE SIMPLIFIÉE
La simplicité est le maître mot de l’offre Cloud in One. Une PME qui veut basculer serveurs et postes dans le Cloud doit traditionnellement combiner de nombreux services de gestion des identités, d’hébergement de serveurs et d’hébergement des postes dans le Cloud. Elle doit apprendre à naviguer dans les méandres des offres des opérateurs Cloud pour assembler les différentes briques. Puis les combiner de façon optimale. Une combinaison qui n’est pas simple à mettre en œuvre car elle requiert de multiples compétences. Il faut ensuite configurer les machines, préparer les images système des postes, paramétrer les services et s’assurer de la sécurité des différents éléments.
« C’est toute cette complexité à la fois technique et organisationnelle que l’offre Cloud in One veille à masquer » explique Clément J. ingénieur technique chez DIB France.
Avec des formules simples et un configurateur interactif, l’entreprise choisit simplement le nombre et le type de postes virtuels qu’elle désire, l’infrastructure nécessaire pour le partage des fichiers s’ajustant en conséquence.
Quelques clics suffisent donc à paramétrer l’offre qui est alors très rapidement opérationnelle.